« Passeport »

NOMS : Ravenwood PRENOMS : Freyja Sélène AGE : 18 en apparence-19 ans en réalité DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 18 novembre,Nouvelle-Orléans NATIONALITE & ORIGINES : Américaine et Anglaises ESPECE : Vampire AFFECTATION : Etudiante ANNEE D'ETUDES : 1 ère année STATUT SOCIAL : Célibatire AVATAR : Rosie tupper

« Interview »

QUESTION N°1 - Quels sont tes points forts ? {Un point particulier qui vous rend plus fort}
Elle est observatrice Freyja. Parfois on la croit timide à cause de cela. Parce qu’elle peut rester de longues minutes sans parler en se contentant d’observer les autres. Seulement elle retient tout. Pour elle c’est un loisir. En découvrir le plus possible sur ceux qui l’entourent sans que ceux-là même ne s’en doutent. Après tout la connaissance c’est le pouvoir pas vrai ? On la croit faible généralement Freyja.  On pense qu’elle ne peut rien faire seule. C’est souvent vrai…mais elle est capable de surprendre…et c’est au moment ou on l’attend le moins  qu’elle montre sa face cachée. Elle sait également bien se contrôler. Ce qui est d’ailleurs étonnant venant d’un jeune vampire comme elle. Mais sans doute est-ce parce qu’elle est dégoûtée parce qu’elle est devenue. Toujours est-il que Freyja son plus grand point fort est d’être celle que l’on n’attend pas.
QUESTION N°2 - Quels sont tes points faibles ? {Votre grande faiblesse, ce peut être une personne, une attirance, ...}
Ses points faibles ? Et bien cela parait sans doute mais son caractère même sa plus grande faiblesse. Elle à grandit dans un espace ou elle était surprotégée, elle à toujours laissé les autres prendre les décisions à sa place simplement pour ne pas avoir à se décider. Elle à beau faire des efforts, Freyja reste faible à l’intérieur. Tendre. Douce au point d’en devenir un peu effacée, ce qui ne correspond pas du tout à sa nouvelle nature. Elle n’aime pas la violence et déteste le fait de devoir s’adapter. De devoir prendre son indépendance. D’être obligée de se débrouiller seule. Elle est trop dépendante. En à l’habitude. Et ses émotions qui font la toupie et qui la rendent lunatique ne sont pas franchement d’une grande aide non plus.

QUESTION N°3 - Quelles est ta plus grande peur ? {Ce que vous craignez le plus, une chose qui vous angoisse ...}
C’est plutôt simple. Si Freyja à peur d’une chose c’est de devenir un monstre. De faire souffrir les personne qu’elle à aimée ou celles qu’elle aimera. Il faut dire que de temps en temps quand l’envie de sang la prend elle sent bien qu’elle n’ait plus la même. Qu’elle serait capable de faire un carnage juste pour obtenir ce dont elle meurt d’envie. Et dans ces moments-là elle à terriblement peur d’elle…de ce qu’elle pourrait devenir. Heureusement la soif est à peu une de seules choses de sa nouvelle nature qu’elle maitrise un tant soit peu, ce qui limite (bien heureusement) les dérapages.

QUESTION N°4 - Qu'est-ce que tu aimes faire dans la vie ? {Loisirs ; Activités ; Passions ; ...}
Le violon. Sa passion a toujours été le violon. Elle à commencé alors qu’elle n’était encore une enfant et n’a plus jamais lâché son archet depuis …enfin jusqu'à sa transformation en vampire…maintenant elle refuse ne serait-ce que de l’effleurer…elle à l’impression qu’elle n’en à pas le droit. Comme si toucher le bois familier devenait un sacrilège maintenant qu’elle était devenue vampire. Alors maintenant ? Et bien c’est plutôt la lecture ; encore une activité solitaire. Tranquille et presque paisible. Elle lit un peu de tout mais principalement de la poésie…ça lui permet de voir les choses différemment. Le monde sous un autre angle en somme. Parfois elle sort se promener ;  alors il s’agit juste de s’assoir et de regarder les gens qui l’entourent et leur vie pendant des heures…tout simplement.

QUESTION N°5 - Qu'est-ce qui te plait chez les gens ? {Ce qui fait que tu vas plus ou moins facilement leur parler ; Ce qui fait que tu ne peux pas te les saquer ; ...}
C’est difficile à dire. C’est une manière d’être qui va l’attirer vers quelqu’un. Un sourire, un regard ou même une pointe de détresse. Freyja est plutôt simple…elle regarde quelqu’un et d’un seul coup il y a quelque chose qui lui donne envie de s’en approcher. Désormais plutôt méfiante, elle préfère attendre de voir quelque chose qui lui confirmera qu’elle à bien fait. Mais finalement elle aime toute sorte de personnes. Des plus évidentes aux plus étranges. Ce ne sera pas forcément les plus gentils. Pas forcément ceux qui sourient. Bien au contraire ; Alors elle ne sait pas vraiment ce qui lui plait chez les gens…peut-être une sensation diffuse qui lui souffle qu’ils ont besoin de quelque chose qu’elle peut leur apporter ? C’est finalement assez égoïste mais Freyja a besoin que l’on ait besoin d’elle.

QUESTION N°6 - Comment envisages-tu ton avenir ? {Plans de carrière ; Relations amoureuses - amicales ; Des enfants? ; ...}
Un avenir ? Mais quel avenir peut avoir un vampire ? Avant il y a juste quelques mois elle aurait pu dresser un plan de carrière détaillé. Devenir concertiste. Tomber amoureuse…trouver quelqu’un pour partager sa vie. Maintenant Freyja vit tout au jour le jour. Il faut d’abord qu’elle apprenne à contrôler ses capacités…et puis qu’elle finisse les cinq années de Black Moon…après…et bien elle ne sait pas …on verra quand il le faudra pas vrai ? de toute façon elle est incapable de deviner ce qui va l’attendre…il sera bien temps de voir après.


QUESTION N°7 - Qu'est-ce que tu n'arrives pas encore à maîtriser ? {Parmi les dons de ton espèces, qu'est-ce qui te pose problème?}
Il serait plus simple de demander ce qu’elle maitrise. Freyja c’est une très jeune vampire alors finalement il n’y a aucun des dons de son espèce qu’elle maitrise vraiment bien…bon à part contrôler sa soif mais pour le reste…elle déteste tant sa force qu’elle essaye de la réprimer sans se rendre compte que c’est impossible. Alors parfois elle se lâche et détruit tout autour d’elle…pas très équilibré donc. La vitesse ? Eh bien elle fait de son mieux mais parfois elle n’arrive plus à s’arrêter et heurte n’importe quoi…tant que ce n’est que sur une courte distance ça va encore cela dit. Et l’hypnose bien sûr. Elle à déjà essayé mais sincèrement ce n’était pas très concluant

« Histoire »

CHAPITRE PREMIER - Ton enfance et ta vie avant que tu découvres qui tu étais

Il y a des gouttes  sombres qui s’écrasent sur l’asphalte. Agressives. Violentes. Elles explosent en un millions de perles noircies en touchant le sol. En heurtant les formes de ceux qui sont assez fous pour venir s’aventurer sous les remous torturés du ciel. Un peu comme elle finalement. C’est juste une silhouette pâle dans la nuit. Un corps frêle qui semble s’écrouler sous la force du vent et la violence de la pluie. Un minuscule éclair de lumière dans cette rue beaucoup trop sombre. Il n’y a plus que les ombres mouvantes et le faible murmure de ceux qui passent en courant pour tenter de trouver un refuge rapidement. Même les lampadaires semblent avoir cédés à la noirceur ambiante…leur lumière se fait froide…vacillante. A peine un léger reflet…glaçant…ou bien peut-être est-ce seulement son impression.

Freyja se colle d’avantage contre le mur près duquel elle se tient. Etrangement elle pourrait presque aimer cet endroit…presque. Ce n’est pas la tristesse des peintures fanées qui peuplent les façades des immeubles. Non. Ce n’est pas non plus ces fissures béantes qui défigurent les murs comme autant de lacérations. Ni même le manque d’espoir ambiant. Dans une autre époque, à un autre temps elle aurait pu l’accepter comme étant la représentation d’un paysage qui ne tolérait que la force et qui plaçait les autres dans l’oubli. Une philosophie à laquelle la jeune femme n’adhère pas mais quelle est à même de comprendre. Alors pourquoi ? Pourquoi est-ce que chaque imperfection semble être une insulte qui lui est directement adressée ? Peut-être parce qu’en elle se mélange des sentiments contradictoire d’injustice et de dégoût de soi.
Parce que rien de tout cela n’aurait du lui arriver à elle…et parce qu’aujourd’hui elle ne peut s’empêcher de craindre le rejet et la haine ….

Ses poings se serrent convulsivement et ses yeux se ferment pendant une seconde. Quel spectacle elle offre en ce moment sans même s’en rendre compte. Se peau aussi pâle que l’albâtre prend des reflets bleutés à la lumière argentée de la lune, ses traits doux sont emplis de tristesse et de vulnérabilité. Elle semble si fragile…comme une poupée de porcelaine que l’on pourrait casser à tout moment par un geste trop impétueux. Ses cheveux d’ordinaires d’une harmonieuse couleur miel tombent tristement sur ses épaules rendus noirs par la pluie battante. Mais cela ne rend le contraste que plus saisissant. Car après il y a sa bouche. Rougie par le froid. Et puis ses yeux. Grands. Clairs. Et presque purs comme ceux d’un enfant. Presque. Parce qu’il y a tout de même à l’intérieur cette étincelle de douleur et cette lueur d’incertitude qui n’existent pas chez les plus innocents. Freyja penche lentement la tête en arrière comme pour apprécier la saveur de la pluie. Ses vêtements trempés se collent lentement à elle pour dégager un petit corps plus que frêle comme celui d’une danseuse, délicat et fragile comme près à se briser en mille morceaux.

Pour est-elle ici déjà ? Sous la pluie battante et non a  Black moon ? Après tout la-bas au moins elle possède un endroit ou se réfugier. Ou vivre. Un endroit ou elle peut…parfois être seule. Mais Freyja ne supporte plus les espaces clôt depuis quelques temps. Il lui semble que les murs se resserrent de plus en sur elle. Qu’ils menacent de l’étouffer et de la détruire. Elle à un jour été assez vive pour ne pas vouloir rester bloquée dans des lieux qu’elle n’appréciait pas. Une des raisons qui avaient poussés ses parents, durant le peu de temps ou ils avaient été ensemble à investir dans une coquette et immense maison. Un léger sourire vient fleurir sur ses lèvres…elle avait tant aimé cet endroit. Parce qu’il ressemblait à une promesse de bonheur…Et parce que pendant quelques années cette promesse s’était réalisée. Et c’est suffisant pour que la nostalgie vienne la saisir à chaque fois qu’elle y repense…

Une petite maison aux couleurs pastel rayonnantes de beauté. Un portail en fer aux barreaux neufs, luisants. Un endroit magnifique et onéreux mais freyja ne le voit même pas. Pour elle cela pourrait être aussi bien un taudis…peut importe puisqu’elle est heureuse. Parce qu’il y a le regard doux de sa mère qui l’enveloppe à chaque pas. Et les bras solides de son père qui la serrent en une étreinte étouffante mais ô combien appréciée. Alors Freyja ne prête pas attention aux graviers impeccables de l’allée ni même à la façon dont les rosiers sont coupés à ce qui semble être au millimètre près. Parce qu’il y a cette senteur chaude et vivante dans l’air. Un parfum magique que ne peuvent sentir que les êtres heureux. Et finalement cette maison devient l’endroit parfait…mais parce qu’elle est belle ou immense. Mais parce qu’à travers les barreaux du portail on peut voir une petite fillette aux longs cheveux blonds dorés rire à s’en casser la voix avec l’insouciance que seules les très jeunes êtres possèdent. Et ce rire semble peindre chaque centimètre de l’endroit avec l’or le plus pure. C’est de la joie…le bonheur…

Dommage…Dommage que cela n’ait pas duré finalement.

Sa bouche se crispe en une moue amère. Encore aujourd’hui elle est en colère. Ses parents s’aimaient depuis de nombreuses années. Ils avaient commencés à se voir bien avant sa naissance. Une amourette d’adolescents qui s’était transformé en mariage. Un conte de fée devenu réalité. Ils auraient pu être l’un de ces couples indestructible que l’on admire en songeant qu’ils nous donnent de l’espoir. Pourquoi ça n’a pas été le cas ? Parce que visiblement le père si aimant que Freyja considérait comme l’homme le plus fantastique du monde n’était pas assez pour sa mère. Elle avait vu quelqu’un d’autre…un anglais au visage charmeur et aux yeux clairs…selon les propres mots de l’infidèle…mais l’avait-elle vu brièvement ? Longtemps ? Personne n’avait jamais osé demander…ni elle, ni son père peut-être parce qu’ils avaient tout peur de la réponse qui serait sans aucun doute trop dure à supporter.

Sans doute sa mère pensait-elle que son secret pourrait être gardé pendant des années…peut-être même une vie entière. Mais ça n’a pas été le cas…peut-être n’aurait-elle pas du garder ces lettres…sûrement. Une soupire de tristesse jaillit de ses lèvres roses et ses ongles entrent lentement dans la peau crémeuse de sa peau. Stupide femme. Son père est parti bien évidemment…incapable de supporter l’incertitude…parce que Freyja pouvait être sa fille…tout comme elle pouvait ne pas l’être. Alors comment regarder l’enfant que l’on avait aimé pendant tant d’années sans savoir ?  Et la femme à qui on avait tout donné sans se souvenir de l’horrible trahison ? Freyja n’avait que six ans…Et son monde s’était effondrée. Elle s’était sentie abandonnée…Jusqu’au jour béni oui il avait proposé une garde partagée. Son père était un ange. La victime. Sa mère le monstre. Alors elle l’avait haï…une équation simple pour un esprit enfantin. Bien sûr désormais elle sait que rien n’est aussi évident…mais à l’époque cela semblait être évident.  C’est pour cette raison qu’elle est partie d’ailleurs. Chez lui. Loin de cette femme qui se comptait de ressembler à sa mère. Et là…là elle à vraiment été heureuse. De leurs moments ensemble elle se souvient de tout. La mémoire est une chose merveilleuse. Du parfum sucré des violettes à l’éclat du couchant frappant la façade de la petite maison ou elle vivait désormais. Du toucher doux des vêtements en cotons de sa belle-mère qu’elle avait rapidement appris à aimer et de son sourire si beau. Du côté râpeux de la barbe de l’homme qui l’avait conçue. Des bras forts qui la soulevaient pour la faire tourner jusqu'à ce qu’elle demande grâce .Des joies simple.La première fois qu’elle avait touché un violon aussi. La sensation de l’archet glissant entre ses doigts. La première note flottant dans l’air, résonnant autour d’elle et emplissant son cœur d’un sentiment inconnu. Quand à sa mère elle l’a quasiment abandonnée…Quelque chose dont elle n’est pas fière aujourd’hui mais qui semblait naturel à l’époque. Et après ? Et bien il y a eu un moment de flottement. L’enfant douce et sage est devenue une adolescente qui l’était tout autant. Un peu trop effacée même…presque terne. Alors dans un moment de folie elle à voulu se libérer…faire ce qui lui plaisait quand ça lui plaisait…Sans même se soucier des conséquences

Ce qui s’était avéré stupide. Irrémédiablement stupide.

CHAPITRE SECOND - Comment s'est révélée ta nature

Il est tard…et elle ne devrait pas être là. Mais quelle importance ? Lisa l’a bien dit…on n’est jeune qu’une fois…et si elle ne s’amuse pas maintenant Freyja aura-t-elle une autre chance de le faire un jour ? Sans doute que non, alors qu’importe les regards désapprobateurs que lui lanceront son père et sa belle-mère s’ils s’aperçoivent qu’elle à encore une fois découchée. Elle est majeure désormais depuis une semaine…alors elle à droit de faire ce que bon lui semble non ? Et Freyja veut rejoindre ses nouveaux amis. Ils ne sont pas loin…mais cette sinistre ruelle est un raccourci et il fait suffisamment frais pour qu’elle veuille les rejoindre au plus vite. Ses talons claquent sur le sol alors qu’elle avance d’un pas rapide sa jupe volant autour de ses genoux à chaque enjambée.
Un sourire léger se dessine sur ses lèvres et elle fredonne les paroles d’une chanson entendue on ne sait ou. Il y a du bruit derrière elle mais elle n’y prête pas attention. Dans ces rues sale-t-il ya toujours des gens. Ceux qui y habitent et ceux qui comme elles, les empruntent comme raccourcis et essayent d’en sortir le plus vite possible, un air offensé peint sur le visage. Mais pas sur celui de Freyja…car si son père ne l’avait pas emmené avec lui  elle aurait probablement finit dans un de ces immeubles décrépis avec sa mère à ses côtés. Elle n’y prête pas plus attention que ça. Habituée à leur vue ? Ou simplement trop intéressée par elle-même pour y faire attention ? La seconde solution sans doute. Elle ne regarde pas non plus ou elle va ni même ce qui l’entoure..et finalement c’est bien tant pis pour elle.

Et le reste ? Le reste est plus flou…Car ses souvenirs sont encore diffus…même aujourd’hui…

Il y a une masse qui la percute brutalement…puis une brusque douleur qui lui arrache un cri étranglé. Et cet étau qui se resserre violemment autour de son cou…comme s’il allait lui arracher. Et la douleur…infinie. Brutale. Des larmes qui jaillissent autour de ses yeux si clairs. Juste une pensée. Fuir. Fuir. Fuir…un refrain lancinant et urgent qui résonne dans sa tête. Un besoin vital. Parce qu’il y a cette part d’elle qui sait qu’elle risque de mourir si elle reste sans bouger plus longtemps.
Un halètement étranglé fait vibrer sa poitrine. Ses yeux s’emplissent de souvenirs horrifiés…comme la sensation du sang chaud qui coulait le long de son cou…et même à l’intérieur de sa gorge. Car oui elle se souvient encore d’un goût métallique et épais roulant doucement dans sa trachée. Et après ? Elle ne sait plus combien de temps après elle s’est réveillée mais elle était ailleurs. Bien loin de la ruelle aux côté de quelqu’un qu’elle ne connaissait pas et qui lui avait dit être un vampire. Elle ne l’avait d’abord pas cru…puis elle s’était rappelé de tout….c’était ainsi qu’elle avait appris ce qu’elle était devenue…il y a….une petite année…une minuscule petite année plus courte que jamais…étrange pour elle qui était devenue immortelle…le temps aurait du passer beaucoup plus lentement non ?

Toujours est-il que le vampire qui l’avait trouvée l’a aidée…plus ou moins dans l’attente de recevoir quelque chose en retour. Plus tard bien sûr …quand elle saurait se contrôler. Quand elle serait plus vieille et donc plus puissante…mais ce n’était pas vraiment grave…toute aide était à l’époque bonne à prendre. Et Freyja à passé quelques mois à ses côtés…sans beaucoup de succès. Aucun des dons de son espèce ne semble être le sien. Peut-être parce qu’elle a été élevée en ayant tout ce qu’elle souhaitait. Ou peut-être tout simplement parce que son caractère ne correspond pas  à sa nouvelle nature…qui sait ?

Freyja soupire doucement…elle n’a jamais choisi de devenir vampire…mais elle à du apprendre à vivre avec…

CHAPITRE TROISIEME - Ta vie depuis lors.

La jeune fille serre soudain ses poings rendus glissants pat la pluie. Elle a vraiment fait de son mieux. Mais être une vampire était visiblement hors de sa portée…elle ne savait quoi faire de toute ces nouvelles qui lui arrivaient. Cette chose qu’elle n’avait pas décidé et qui envahissait sa vie sans son accord. Ses soudaines crises de colères. Sa soif de sang parfois si puissante qu’elle devait se retenir de toutes ses forces pour ne pas aller arracher la gorge du premier passant venu. C’est pour ça qu’elle est allée à Black Moon. Le vampire qui l’a aidée lui à parler lui-même de l’établissement. Et Freyja en à été plus que soulagée. Un lieu ou elle pourrait apprendre. Un lieu ou elle serait en sécurité…du moins c’était l’idée qu’elle s’en faisait.

Alors elle y est entrée. Avec joie. Freyja à toujours eu peur d’a peu près tout….mais elle à toujours haïe sa nouvelle nature de vampire qui lui convient si peu. Elle n’a jamais été violente…même totalement le contraire…Alors comment s’adapter dans un univers ou tout le monde s’attend à ce qu’elle le soit ? Ou même elle se doit de l’être pour survivre ? Pourtant elle fait de son mieux à Black Moon…en essayant de concilier ce qu’elle à toujours été et celle qu’elle est devenue. Elle essaye de rester la plus neutre possible. De ne s’engager vraiment dans rien…ainsi elle reste à peu près en dehors de ce qui se passe ce qui lui convient très bien. Elle fait de son mieux pour contrôler ses pulsions ce qui est parfois difficile vu que certains humains arrivent désormais par on ne sait ou à Black Moon…Eux elle les évite un maximum. Ils ne la concernent pas et elle est bien décidée à se tenir au régime imposé par le règlement de Black moon. Elle se déteste déjà assez pour avoir bu du sang humain…elle se déteste déjà assez pour ce qu’elle est. Pas la peine d’en rajouter non plus. Finalement elle est perdue Freyja .Perdue. Entre deux identités. Deux causes qu’elle refuse d’embrasser. Il ne reste que le doute…et cette violente cassure dans son esprit qui la fait descendre sur la sombre pente de la folie. Ses poings se serrent lentement et elle baisse la tête.

Et alors bien malin celui qui pourrait dire ou commencent les larmes et ou s’arrête la pluie…

« Derrière l'écran »

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#5 - Qu'en pensez-vous ? Magnifique forum et pour être passée sur la cb je sais que tout le monde est très gentil ♥
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