« Passeport »

NOMS : Jakova - C'est Albanais, le premier qui me traite de Russe, je l'explose. PRENOMS : Dasha Zmerald - Bon, dans le genre pas commun je sais, je fais fort en Amérique, mais chez moi c'est un prénom normal. Et puisqu'on en est à se parler et tout, faites moi plaisir, appelez-moi Dash. AGE : 28 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 13 mai 1985 à Tirana (capitale d'Albanie) NATIONALITE & ORIGINES : J'espère que là vous aurez compris depuis le temps que je suis Albanaise. ESPECE : Sorcière AFFECTATION : Professeur ANNEE D'ETUDES : / STATUT SOCIAL : Célibataire et bien contente. AVATAR : Eliza Dushku

« Interview »

QUESTION N°1 - Quels sont tes points forts ? {Un point particulier qui vous rend plus fort}
Est-ce que la désinvolture et l'indifférence totale, même si elles ne sont pas des qualités peuvent-être considérées comme mes points forts ? Bon, d'accord d'accord, si je dois trouver quelque chose de pas trop négatif, je dirais... euh... ma persévérance ! Ouais bon en fait c'est juste un joli mot pour dire que je suis une tête de mule et que je ne renonce jamais. Dès que je commence quelque chose, je le finis, bon ou mauvais, peu importe, laisser des choses inachevées ce n'est pas pour moi. Je suis pas non plus du genre à reculer devant la difficulté, et même quand j'y arrive pas, je recommence. Comment vous croyez que j'en suis arrivée à être une telle maîtrise de la magie ? Et comment vous croyez qu'on devient une bête en combat ? Donc ouais, je crois que c'est ça ma force, c'est ma persévérance.

QUESTION N°2 - Quels sont tes points faibles ? {Votre grande faiblesse, ce peut être une personne, une attirance, ...}
Alors là je vais pas chercher cent ans avant de dire que c'est ma témérité ! Me regardez pas comme ça, je sais c'est pas malin, mais je suis du genre à foncer dans le tas, j'ai pas peur des gros bras, des suceurs de sang et tout, j'y vais et puis voilà. Après je me fous dans des ennuies pas possibles. J'ai la fâcheuse tendance d'avoir toujours des problèmes, parce que je frappe d'abord et je questionne ensuite... Si j'avais pas des pouvoirs, je sais pas comment j'aurais réussi à survivre hein.

QUESTION N°3 - Quelles est ta plus grande peur ? {Ce que vous craignez le plus, une chose qui vous angoisse ...}
La peur... Il en faut beaucoup pour me faire peur. Je crois que du moment que tu as accepté la mort, que tu ne la crains plus, plus rien ne peut te faire peur. Bon c'est sûr, il doit bien y avoir quelques petites séquelles de l'enfance qui font que j'ai forcément peur de quelque chose, même une peur irrationnelle, mais là à bien y réfléchir je vois pas. Enfin, si bon, c'est pas quelque chose, c'est quelqu'un. Y a qu'une personne sur cette planète de mes deux qui peut instiller de nouveau le sentiment de peur en moi, mais elle est restée en Albanie, alors bon débarras.

QUESTION N°4 - Qu'est-ce que tu aimes faire dans la vie ? {Loisirs ; Activités ; Passions ; ...}
Même si mes élèves et mes fréquentations en général pensent que je n'aime rien du tout parce que je ne suis qu'une garce aigrie, et bien c'est faux. Il y a plein de choses que j'aime faire ! J'ai des loisirs de femmes par exemple, le shopping, les moments détente et beauté, les sacs de marque... les hommes aussi. Et puis j'ai des loisirs de créature surnaturelle ! Comme effrayer mes élèves, leur mener la vie dure, passer des heures dans les vieux grimoires à la recherches de potions oubliées, allumer mes cigarettes avec mon pouce, jouer à cache cache avec les loups garous... Quoique cette dernière activité est dangereuse, jeunes élèves, ne tentez pas de reproduire ça !

QUESTION N°5 - Qu'est-ce qui te plait chez les gens ? {Ce qui fait que tu vas plus ou moins facilement leur parler ; Ce qui fait que tu ne peux pas te les saquer ; ...}
Encore une fois mes élèves vous diront que je n'aime personne. C'est vrai. En apparence. En fait, je n'ai pas énormément d'estime pour les gens que je ne connais pas. Une fois qu'ils m'ont apprivoisé, il arrive que j'aime bien les gens... Mais bon, honnêtement, je préfère ceux qui ont du sarcasme, de l'expérience de vie, des histoires à raconter et tout. Les gens trop niais et trop fragiles, ça m'énerve parce qu'après je me sens obligée de les protéger. Voyez, j'ai un bon fond quand même.

QUESTION N°6 - Comment envisages-tu ton avenir ? {Plans de carrière ; Relations amoureuses - amicales ; Des enfants? ; ...}
J'ai déjà une carrière. Je veux être prof jusqu'à la fin de ma vie, ça me plaît bien en fait. Je me marre bien en temps que prof. Bien sûr les canailles qui m'ont élevés auraient voulu que je reprenne le business, mais ils sont éternels, moi non alors tant pis pour eux. Après si l'avenir me réserve un mari et des gosses, c'est une autre histoire. Mais honnêtement, vous me voyez rester à la maison à préparer de quoi nourrir un paresseux qui se cultive devant un match de foot ? Nan moi j'ai besoin d'aventures pour l'instant. Et puis des gamins, j'en ai déjà assez à Black Moon... même si certains ont un ou deux siècles de plus que moi, ça reste mes gamins.

QUESTION N°7 - Qu'est-ce que tu n'arrives pas encore à maîtriser ? {Parmi les dons de ton espèces, qu'est-ce qui te pose problème?}
Moi-même ? On est son seul ennemi à vrai dire. En fait j'ai encore trop le caractère impulsif, de ma famille, ce qui est assez délicat quand en un coup de colère on peut créer une tornade... Les seuls moments où je suis entièrement maîtresse de moi-même sont ceux pendant lesquels je m'entraîne. Bon il y a d'autres détails aussi... comme ne pas dépasser la limite entre magie blanche et magie noire qui est plutôt badass... Combien de fois ai-je failli être trop submergée par mon pouvoir ?

« Histoire »

CHAPITRE PREMIER - Ton enfance et ta vie avant que tu découvres qui tu étais

J’ai toujours su qui j’étais, ou du moins, ce que j’étais. Je suis née dans une famille de sorciers , l’une des seules résidant en Albanie d’ailleurs. Il y en a trois de connues dans mon pays, et la mienne est la seule à pratiquer la magie blanche. Imaginez donc le ratio de force obscur qui grouille là-bas.
Bref, je suis née dans une famille de sorciers et j’aurais pu y passer des jours tranquilles et merveilleux si ma mère n’était pas une brillante sorcière. Enfin, surtout au niveau des potions. Fascinée par les savoirs anciens que renferment grimoires et autres vieilles reliques datant de la chasse de Salem, elle les a tous lus et a mis en pratique de nombreuses potions dont certaines nécessitaient parfois des jours entier de préparation. Mon père plaisantait parfois sur le fait qu’elle finirait par découvrir le secret de l’immortalité ou une connerie du genre qui ferait revenir les morts. Mais tout ça, je m’en souviens à peine en fait, je le sais parce que ma mère me l’a raconté…

J’avais trois ans quand ils sont arrivés. Ils ont pris ma mère, et ils m’ont pris aussi. Rapides, pâles et froids comme la mort… C’était la mort personnifiée. Des vampires. Je ne l’ai pas vu, mais je sais qu’ils ont tué mon père… Vadim me l’a avoué. Vadim, c’est celui qui est à l’origine de tout mon malheur. Vampire presque millénaire, il s’est établi en Albanie pendant la seconde guerre mondiale avec quelques de ses compagnons. Leur clan s’est inséré dans la vie criminelle albanaise, nourrissant les marchés noirs et la prostitution. Ils sont vite devenus figure d’autorité dans la mafia albanaise, jusqu’à prendre possession de la plus grande famille pendant la guerre froide. Depuis ils règnent sur un grand réseau de trafic d’armes, de cigarettes, de drogues et d’humains…
Et là vous vous dites : pourquoi des vampires mafieux enlèveraient-ils une sorcière ? La réponse est simple, pour retrouver le soleil. Ma mère connaissait d’innombrables formules et potions anciennes qui parvenaient à vaincre les vampires ou à rendre leur  non vie plus facile. Ils voulaient le soleil, conquérir le jour, ma mère pouvait le leur donner. Mais comme il fallait de quoi la motiver, ils m’ont pris avec.
J’ai donc grandit dans une énorme villa, au milieu de vampires qui pouvaient opérer à toute heure. Comme je ne comprenais pas vraiment les enjeux, je ne savais pas s’il fallait détester ces créatures ou tout simplement les considérer comme une famille. Mais disons qu’aucun oncle ne regarderait sa nièce avec l’envie de lui déchirer la jugulaire et de la vider de son sang…  A bien y réfléchir, j’ai quand même eu une enfance relativement normale. Vadim avait beaucoup de respect pour ma mère sorcière, et pour moi aussi, et même s’il était particulièrement effrayant, il me traitait bien. Il m’a même fait cadeau d’une vie humaine plutôt banale. Je suis allée à l’école, j’ai joué avec des petits humains, je profitais de mon enfance humaine dans toute cette splendeur. Parfois j’assistais ma mère, elle me préparait à plus tard, quand mes pouvoirs allaient arriver. Elles m’apprenaient plein de choses, sur comment exploiter les ressources naturelles, comment maîtriser les éléments… Elle me disait que je comprendrais plus tard, quand j’atteindrais l’âge d’exploiter la magie.
Nous sommes restées des années durant auprès de Vadim de sa famille vampirique et mafieuse. Je soupçonne ma mère d’être tombée amoureuse de lui, comme une forme de syndrome de Stockholm mais surnaturel. De toute façon, nous n’avions plus de famille dehors…

Vadim m’a mis à la pratique du sport très jeune. Au début, j’ai fait de sport de fille, de la gymnastique, de la danse, quelque chose qui pouvait à la fois développer mon corps et canaliser mon énergie. Mais mon caractère hargneux et bagarreur reprenait toujours le dessus, alors il m’a foutu dans les arts martiaux. J’avais dix ans quand j’ai vraiment commencé. Du judo, du kenjutsu et ensuite j’ai demandé à expérimenter moi-même. J’ai essayé plein d’arts martiaux différents, le taekwondo, le karaté, le ju-jitsu et en grandissant, ça devenait de plus en plus hard. Et ensuite j’ai découvert le krav maga, et là ce fut l’histoire d’amour. Loin d’être un art, j’ai trouvé une technique de combat infaillible. J’approchais les seize ans, et j’étais déjà une redoutable combattante…

CHAPITRE SECOND - Comment s'est révélée ta nature

J’attendais impatiemment l’arrivée de mes pouvoirs. Vous savez, ça n’arrive pas forcément le jour des seize ans, comme un solstice, ça s’étalait sur une période. Mais j’ai senti la magie s’installer peu à peu en moi. Je sentais des changements s’opérer dans mon corps, et d’un coup, tous les discours de ma mère sur la nature et l’ouverture de son esprit et tout me sont apparus clairs. Ça a été un déclic en fait, quand mon esprit s’est ouvert, le pouvoir m’a envahi d’un coup. Contrairement à la plupart des sorciers, mon premier exploit magique n’a pas été une explosion de colère hasardeuse, non, j’avais été méticuleuse. Une clope au bec j’ai puisé en moi, comme ma mère m’avait de le faire, et au bout de mon pouce, une flamme est apparue. Emerveillée, j’ai lâché la clope et je suis allée trouver ma mère. « Je suis une sorcière maman ! Ça y est ! » Et devant son regard ébahi, je réitérai mon petit tour. Elle me prit dans ses bras, me serra très fort, mais je sentais qu’elle n’était pas heureuse entièrement. Je ne compris que plus tard…

Vadim avait tout entendu évidemment, ce qu’on disait n’était un secret pour personne. Il arriva en un instant, et la frayeur provoquée augmenta l’ampleur de la flamme. J’agitai la main dans l’espoir de faire disparaître le feu, mais il me fallut attendre de reprendre mes esprits. « Félicitations petite sorcière. » Son ton était le même, froid et impassible. Il me scrutait, à la fois intrigué et triste. Son visage parfait fut soudain grave et inquiétant. « Dasha… Te voilà une femme maintenant. Ta place se trouve ici à présent, auprès de ta mère, pour apprendre à contrôler tes pouvoirs. Tu n’iras plus au lycée, et pour ta sécurité, tu ne fréquenteras plus d’humain. Tu n’es plus humaine Dasha. Ta période de vie normale est terminée. » La peur m’avait paralysée, et le vampire disparut pour aller vaquer à ses occupations. Les larmes nous montèrent aux yeux et ma mère et moi avons pleuré toute cette nuit-là.

CHAPITRE TROISIEME - Ta vie depuis lors.

20 ans.
« Tu es une femme maintenant. » Pfff  vieux tas de poussière. Pourriture non morte. Je m’en fous, je ne suis personne ici, au milieu de la foule. La musique est transcendante, l’alcool retourne les esprits, ici ce soir, on ne fait plus semblant d’être des gens bien. On s’en fout de ce que les gens peuvent dire sur ce qu’on fait ou pas, ici on est dans un royaume de débauche. On s’en fout de la petite sorcière qui a grandi avec des vampires mafieux, qui vient de perdre sa mère… Putain j’ai plus de mère. Morte, vidée de son putain de sang… Tout ça parce qu’il n’était pas foutu de la protéger mieux, tout ça parce que les Russes voulaient détruire la famille de l’intérieur. Bande d’enculés de Russes. Merdeux de vampires. Je les hais. Et tout ce que je trouve à faire, c’est me murger tous les week ends, me droguer à tout ce que je trouve et coucher avec ce qui me tombe sous la main.
J’ai vingt ans, je suis jeune, je m’en fous, et ceux qui sont pas d’accord je leur fous le feu au crâne.


22 ans.
« LACHE-MOI PUTAIN ! » Les yeux désespérément clôt pour ne pas être hypnotisée, je me débats tant bien que mal de la poigne de Vadim. Autour de nous, le vent se lève soudainement, souffle tellement fort qu’on a l’impression qu’il gronde, tout ce qui ne pèse pas beaucoup s’envole. « Dasha arrête ça ! » ordonne le vieux vampire. « Ferme ta gueule et repose-moi ! Je veux plus retourner dans ton repaire à morts vivants ! » Mais j’ai beau hurler, gronder, frapper, le vampire reste imperturbable. Une fois totalement maîtrisée, il file de sa vitesse surnaturelle jusqu’à la villa.
Complètement retournée et encore saoule, je vomis dès qu’il me pose par terre. Impossible de tenir sur mes jambes, et les larmes se mettent à ravager mon visage. « Qu’est-ce que tu me veux ? Me laisser crever comme t’as laissé crever maman ? »  La gifle part, et sous la puissance je suis carrément propulsée plus loin. Et cette fois je pleure franchement, parce que je me rends compte que je suis pathétique en pseudo rebelle droguée. « Symira voulait que je m’occupe de toi. Je n’en ai pas eu la force quand elle nous a quittés… Je ne pensais pas que tu tomberais aussi bas. » Il a visiblement l’air déçu, et je sais que ma mère le serait aussi, mais il m’a clairement abandonné et je lui en veux…

*****
Trois semaines de sevrage. La putain de junkie que j’étais me quitte peu à peu. Je veux mes cachets, je veux de la coke, foutez-moi la paix avec votre purge. J’ai l’air d’une folle à errer dans les couloirs de la villa, sans avoir le droit de sortir. Des fois je pète les plombs, je brûle des meubles ou j’arrache tout avec mes mini ouragans. Mais ensuite je m’évanouis à cause de l’effort, et quand je me réveille, tout est déjà en place. Putain de vampires.

*****
Voilà deux mois que Vadim m’a retrouvé, et je suis clean. J’ai repris le sport et le combat, et surtout l’entraînement. Durant ces deux mois, je n’ai pas vu le vampire une seule fois. Alors c’est avec surprise que je l’ai accueilli alors que j’étais dans la salle d’entraînement. « Habille-toi bien et retrouve-moi dans mon bureau. Ce sera ta première sortie ce soir. » L’ordre était sans appel, et je préférais ne rien dire. Où est-ce qu’il m’emmène ? Aucune idée. Ou du moins, je ne pensais qu’il m’emmènerait à une de ses réunions de mafieux. Fascinée, j’assistais pendant deux heures à une scène surréaliste, j’étais aux premières loges de manigances de criminels... Putain.


24 ans.
Je veux pas diriger son business… C’est pas possible. C’est pas seulement une question d’éthique, c’est juste que c’est pas une vie pour moi. Je veux faire des choses biens aussi, qu’on se rappelle de moi comme étant une bonne sorcière, faire honneur à mon nom et ne pas devenir la première sorcière de ma lignée à sombrer dans les méandres de la magie noire.  Or, traîner avec Vadim, s’intéresser à ses activités, je sens bien que ça assombrit mes mœurs. Je n’avais déjà pas énormément d’estime pour les gens,  alors si en plus je me mettais à les utiliser…
Et puis j’ai d’autres projets maintenant, comme retrouver ma grand-mère. Le vieux vampire avait fini par cracher le morceau, comme quoi elle était toujours en vie elle, et que les Jakova n’avaient pas tous fui l’Albanie après l’enlèvement de ma mère. Au début je ne comprenais pas ce qu’il me voulait. Qu’est-ce qu’il croyait ? Que c’était comme Anastasia, la petite orpheline qui retrouvait sa grand-mère contre toute attente ? Mais à force d’y réfléchir, et de travailler sur ma magie, je me disais que l’aide d’une sorcière ne serait pas de refus…


28 ans : Aujourd’hui.
Appelez-moi Anastasia ! Ce vieux vampire l’avait fait, il m’a fait rencontrer ma grand-mère. Voilà deux ans que j’avais de nouveau une famille, mais au fond, je savais que ma place était dans cette villa pleine de suceurs de sang. J’avais bien fait comprendre à Vadim que je ne reprendrais pas la famille. Il était immortel de toute façon, il pouvait bien s’atteler à ça. Et puis, il avait l’avantage que ses ennemis allaient crever et lui non, il n’avait pas besoin de moi pour l’épauler encore…
Ma grand-mère m’avait proposé quelque chose de plus intéresser. Elle connaissait le directeur d’une école où les races se mélangeaient pour apprendre tous ensemble mais aussi pour apprendre l’un de l’autre. Pour une sorcière qui avait vécu quasiment toute sa vie avec des vampires, c’était un peu mon bain. C’est comme ça que je me suis retrouvée comme prof à Black Moon. Et ça fait un an que je maltraite mes pauvres petits élèves et qu’ils me traitent de sociopathe dans mon dos. Mais au fond, je sais qu’on s’adore… Enfin.  Vivement la rentrée.

« Derrière l'écran »

#1 - Prénom/Pseudo : Atomique / Rolling Sto'
#2 - Age : 19 ans
#3 - Passions : Bah le RPG comme tous ici, mais aussi la mythologie grecque, la lecture, les séries, la fête itou itou.
#4 - Comment avez-vous connu le forum? Par le groupe : Je suis RPGiste et j'assume
#5 - Qu'en pensez-vous ? J'aime beaucoup le type académie fantastique mais j'avais jamais trouvé mon bonheur qui ne soit pas du HP x)  En plus votre design est juste troooop beau *ç*
#6 - Code du règlement ? Code validé par Cassy

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